Los nombres compuestos
ça faisait longtemps que je ne faisait un post dans la langue de Moliere et Miterrand, donc je vais faire l´effort, aujourd hui.
J´aime beaucoup ecrire dans la langue de l ecrivain tanlentueux et de l expresident de plusieurs vies , et la maltraiter quand je la parle, donc je prefere la cultiver dans mon blog et essayer de m´ameliorer, car la vie est faite pour tel propos.
Je vais vous faire part d´un croix que je porte depuis ma tendre enfance. Ce n est pas une croix que je porte tous les jours, mais de temps en temps, quand je parte en Espagne surtout. Ce n est pas une croix materiel, car elle n est pas aprehensible (celle ci est un mot qui ne doit pas exister en français, mais elle est un terme juridique assez interessant). Cette croix est liee a mon prenom et elle s ´appelle Luis.
Vendredi dernier, je faisait rentrait de la banlieu d´Alcala, Madrid, apres une semaine dans ´la villa et corte´. Las bas, tout le monde me connait par mon premier prenom et personne ose faire la combinaison. La raison est bien simple, je ne suis connu dans la ville y corte que dans le registre avec un tel prenom compose.
Des que je suis arrive a Alcala, je savais qu´il n avait pas de marche arriere et que ma croix allait apparaitre a n importe quel moment. Elle est apparu des que je suis arrive dans mon ex quartier, quand deux voisins m ont salue en s adressant a moi comme ´Jose Luis´. ´Hombre, Jose Luis, combien de temps´, la phrase est retenti sur mon cerveau plusieurs secondes. C etait inevitable. Luis appartient a une mode, la mode d appeler les enfants avec des prenoms composes dans les annees 70. On peut trouver des exemples plus ou moins pitoresques, comme Carlos Javier ou Juan Maria. Le mien est tres repandu.
Je ne pouvais pas echapper a tel mode, quoique mon frefre porte un seul prenom et ceci car la combinaision proposee etait un peu abracadabrantesque.Enfin, je culpabilise personne, mais la mienne n est pas la pire des combinaisons des prenoms possibles.
Le comble est venu quand je suis parti avec mon progenitor a l aeroport, apres multiples dialogues partant du meme sujet ´Jose Luis, n oublie pas...´, ´Jose Luis....´, j en pouvais plus, comme on dit dans la langue de Moliere et du pere de Mazarine.
Je rentra dans la boulangerie la plus celebre d Alcala pour faire plaisir a mon frere, qui aime flatter la famille politique. Ces sont des choses qui sont naturels pour quelqu un qui est ne le 29 Fevrier, je le repete avec insistance. J avais pas envie de rentrer dans la boulangerie, mais cela me faisait gagner du temps. Je demande une costrada, un gateau typique d alcala, et quelques garrapiñadas, des amendes au caramel qui sont tres connues dans toute la peninsule et qui preparent des bonnes soeurs auxquels il faut se presenter avec la phrase ´ave maria purisima´et la bonne soeur reponds ´sin pecado concebida´. La fille ne me demande pas pour une fois sur mon accent bizarre en espagnol, on commence bien. Elle soigne bien la presentation de l enveloppe de la costrada. Elle est patiente, car a Alcala le ritme est bien different a celui d une grand ville. J ai perdu la patience d auparavant, a Alcala les choses se passent plus lentement que nulle part ailleurs. Je sors de ´El postre´ et je cherche mon progenitor. La doute s installe dans ma tete et je fais le mauvais choix, je pars vers la droite, la punition tombe venue de 30 metres plus loin sous forme voix de claxon de camion. ´JOSE LUIS´, TU VAS OU, JE SUIS ICI, et je pense, a cet instant, que je ne vais plus pouvoir me debarraser de ma croix et que je la porterais jusqu a la fin des mes jours.
Je rentre dans la voiture apres un dialogue de sourds et mon progenitor continue, ´Jose Luis....´, je regarde pour une derniere fois ´El Postre´ et je tente d oublier l anecdote en riant , en attendant des jours meilleurs
J´aime beaucoup ecrire dans la langue de l ecrivain tanlentueux et de l expresident de plusieurs vies , et la maltraiter quand je la parle, donc je prefere la cultiver dans mon blog et essayer de m´ameliorer, car la vie est faite pour tel propos.
Je vais vous faire part d´un croix que je porte depuis ma tendre enfance. Ce n est pas une croix que je porte tous les jours, mais de temps en temps, quand je parte en Espagne surtout. Ce n est pas une croix materiel, car elle n est pas aprehensible (celle ci est un mot qui ne doit pas exister en français, mais elle est un terme juridique assez interessant). Cette croix est liee a mon prenom et elle s ´appelle Luis.
Vendredi dernier, je faisait rentrait de la banlieu d´Alcala, Madrid, apres une semaine dans ´la villa et corte´. Las bas, tout le monde me connait par mon premier prenom et personne ose faire la combinaison. La raison est bien simple, je ne suis connu dans la ville y corte que dans le registre avec un tel prenom compose.
Des que je suis arrive a Alcala, je savais qu´il n avait pas de marche arriere et que ma croix allait apparaitre a n importe quel moment. Elle est apparu des que je suis arrive dans mon ex quartier, quand deux voisins m ont salue en s adressant a moi comme ´Jose Luis´. ´Hombre, Jose Luis, combien de temps´, la phrase est retenti sur mon cerveau plusieurs secondes. C etait inevitable. Luis appartient a une mode, la mode d appeler les enfants avec des prenoms composes dans les annees 70. On peut trouver des exemples plus ou moins pitoresques, comme Carlos Javier ou Juan Maria. Le mien est tres repandu.
Je ne pouvais pas echapper a tel mode, quoique mon frefre porte un seul prenom et ceci car la combinaision proposee etait un peu abracadabrantesque.Enfin, je culpabilise personne, mais la mienne n est pas la pire des combinaisons des prenoms possibles.
Le comble est venu quand je suis parti avec mon progenitor a l aeroport, apres multiples dialogues partant du meme sujet ´Jose Luis, n oublie pas...´, ´Jose Luis....´, j en pouvais plus, comme on dit dans la langue de Moliere et du pere de Mazarine.
Je rentra dans la boulangerie la plus celebre d Alcala pour faire plaisir a mon frere, qui aime flatter la famille politique. Ces sont des choses qui sont naturels pour quelqu un qui est ne le 29 Fevrier, je le repete avec insistance. J avais pas envie de rentrer dans la boulangerie, mais cela me faisait gagner du temps. Je demande une costrada, un gateau typique d alcala, et quelques garrapiñadas, des amendes au caramel qui sont tres connues dans toute la peninsule et qui preparent des bonnes soeurs auxquels il faut se presenter avec la phrase ´ave maria purisima´et la bonne soeur reponds ´sin pecado concebida´. La fille ne me demande pas pour une fois sur mon accent bizarre en espagnol, on commence bien. Elle soigne bien la presentation de l enveloppe de la costrada. Elle est patiente, car a Alcala le ritme est bien different a celui d une grand ville. J ai perdu la patience d auparavant, a Alcala les choses se passent plus lentement que nulle part ailleurs. Je sors de ´El postre´ et je cherche mon progenitor. La doute s installe dans ma tete et je fais le mauvais choix, je pars vers la droite, la punition tombe venue de 30 metres plus loin sous forme voix de claxon de camion. ´JOSE LUIS´, TU VAS OU, JE SUIS ICI, et je pense, a cet instant, que je ne vais plus pouvoir me debarraser de ma croix et que je la porterais jusqu a la fin des mes jours.
Je rentre dans la voiture apres un dialogue de sourds et mon progenitor continue, ´Jose Luis....´, je regarde pour une derniere fois ´El Postre´ et je tente d oublier l anecdote en riant , en attendant des jours meilleurs